dimanche 13 décembre 2009

Turinaz-Paris

Ciao Flo,
Voila, encore une fois le week end se termine, un autre glorieux week end avec la Turinaz-dream-team a Paname! certes certains cadres manquaient a l'appel...mais quelques piliers étaient présents et la fete et les rires furent au rendez-vous une fois de plus. En me rememorant les évenements phares, je peux deja cité des noms qui m'ont régalé lors des deux derniers jours. Luc deja, profitant d'un Cardiff-Toulouse bien médiocre pour faire une sieste strategique devant sa guiness aux abois...Dino, decidant que les rues de paris sont a lui, nous emmenant dans un trajet Paris-Colombes version "shut up and let me drive, i am Atilla le deux"! ... Guizmo, dans son style si propre, rapellant a un patron de bar que "le client est roi, on te payes! on fait ce qu'on veut!" en égratignant la déco local!...Max, ouvrant une petite boite et donnant a tous du reve agressif! mais aussi un festin simple et modeste au coeur de Paris, un paquito dans le metro, une sceance de culturisme devant l'opera Bastille, une invasion de bar, une mélée devant le Louvre bref encore un regale pour les yeux, les bouches et les oreilles. On ne se relache pas! toujours digne dans l'effort!
Bien sur, une fois de plus, ta présence a fait défaut, mais ta joie et ta bonne humeur si communicative, je la retrouve partout ou l'on passe, comme si ton halo d'allegresse nous suivait constemment. les gens qui nous rencontrent prennent une bouffée d'air de bien etre! les regards se croisent, les sourires se delient et c'est parti! et y'a du toi la dedans, c'est une evidence...
Baci, ciao Flo

Dylan

jeudi 22 octobre 2009

Bien...


"Même dans les moments les plus sombres, la vie recommence toujours le lendemain". Simple à comprendre, évident même, et pourtant tellement dure à admettre lorsqu'on y est confronté.

On m'a invité à une soirée, et, c'était une sorte de surprise, il y avait Georges et Matt, on a levé un verre ça faisait déjà 10 ans qu'on se connaissaient. Là j'ai réalisé à quel point le temps passe si vite. Tu aurais du être là. Y avait même pinochio ! tu y crois ?
Y avait plein de gens, que je n'avais pas forcément envie de revoir. Mais eux ils étaient là.
Je crois qu'il y a un an, j'écrivais que j'étais perdu. Et bien, ça me colle à la peau.
Cela m'envoûte petit à petit. Cela ne te prend que lorsque tu es seul. Tout semble allé bien pour moi, pourtant.
On dit qu'il faut avancer, on dit beaucoup de chose. Mais je ne crois pas qu'il faut se voiler la face. Cela va nous rester collé à la peau. Chaque coup de téléphone tardif, chaque sirène de pompier, chaque grand titre dans les journaux, y a chaque jour un truc, pour vous le remettre en pleine face. Rien à y faire. Je ne sais pas pourquoi j'écris toutes ces conneries. Peut être juste besoin de parler. La nuit n'est plus mon amie depuis quelque temps. Et pourtant je traîne avant d'avoir le courage de me levé. C'est dur de trouver un sens à la vie. Mah, me direz vous, pourquoi lui en donné un ? Vivre au jour le jour ? Mais on ne fait que repoussé le problème. Cela fera plus d'un an que je le fais. Mais ça m'insuporte. J'ai besoin de règle, de code, mais aucune règle explique ton départ, ni celui de ma tante ou encore de mon père. Sentiment d'injustice. C'est sûrement ce que j'ai ressentit lors de cette petite fête en voyant certain.
Tu sais j'ai réalisé un de nos rêves. Shex Prod, c'est une entreprise. Et ouai. J'ai même des cartes de visites. Je suis officiellement seul dans cette boîte. Mais faut toujours que je dise "on" quand j'en parle. On me demande parfois si on est plusieurs... Je me rattrape en évoquant l'assoc. Une partie de moi, me crie de laissez tomber. Ah merde. Quand je repense il y a deux ans, à quel point je pouvais être déterminé. Je ne comprend pas comment on peut en arriver là. Je ne comprend pas grand chose en fait. Et j'ai le sentiment que lorsque j'en parle au gens ils ne comprennent pas non plus. J'aime croire, quand écrivant ici tu peux nous lire. Je sais pas si c'est possible, et personne ne pourra m'affirmer que c'est impossible, alors, pourquoi pas ?
Anne Bernard disait :
"Accepter l'inévitable sans révolte, ne pas s'apitoyer sur soi, penser encore à être utile, biensûr, c'est cela le courage, beaucoup plus que des actes héroïques."
C'est ce que je dois faire tous les jours.
Bientôt mon anniversaire, et je me demande vraiment ce que je peux fêté. Je ne voulais rien faire au début, mais être autour des amis, ça sera mieux que ma famille je pense. J'aimerais pouvoir dire le contraire, mais je ne peux pas.
Au final, encore un soir qui sera probablement très bien. Pourtant je ne veux pas y être. Ce sentiment passe en 10 minutes quand ceux qu'on aime sont à côté de nous. Mais il reviendra la nuit pour hanté le lendemain. Et je devrais une fois plus répondre "ça va" à la question...

mercredi 16 septembre 2009

juste un instant

Florian aurait eu 22 ans aujourd'hui.
Nous sommes tous de passage un court instant sur cette terre, n'est-ce pas ?
J'embrasse tous ceux qui ont eu une pensée pour lui aujourd'hui
et qui font que leur vie vaille à chaque instant la peine d'être vécue.
Isa

lundi 29 juin 2009


Derrière la farce et la joie, se dissimule l'inadmissible.


mardi 26 mai 2009

lettera a Flo

A volte non si può capire l'importanza di un ricordo.. Come una canzone che inizia con DOLCE REMI,come una corsa nei campi dello zio, come un piatto di lasagne con i piselli.. Oppure un tuffo in piscina con gli amici o semplicemente una battuta per ridere (se pesch o se prugn??) come una giornata trascorsa in compagnia, per un compleanno una nascita o un evento speciale...tu c'eri, al momento giusto sempre..ECCO COM'ERI FLO ho cercato di riassumere tutti quei ricordi che nel tuo breve cammino hai lasciato qui da noi, nei nostri cuori in Italia...sembrano poche frasi dette così ma in realtà colme di ricordi.Hai lasciato un vuoto immenso intorno a noi, ma nello stesso tempo hai lasciato nei nostri cuori il tuo sorriso, la tua allegria la tua vivacità.Ringrazio il Signore per averci donato la tua presenza, anche se hai nostri occhi è sembrata breve,voglio credere che ora sicuramente con Lui, ci starai osservando e in punta dei piedi ci accompagnerai nel nostro cammino.GRAZIE GRAZIE a voi tutti per essere stati con noi in mezzo a questa piccola Italia che Flo, credo amasse tanto...CIAO MIO PICCOLO MA GRANDE UOMO, SARAI SEMPRE NEL MIO CUORE.Paola

lundi 18 mai 2009

I'm thinking about you and it makes me smile !



Mon Flo,

Ca y est, le jour que je redoutais tant est arrivé… nous voilà le 18 mai 2009, un an après ton accident… Jour pour jour. 

Tous mes souvenirs avec toi n’ont jamais été aussi clairs, aussi réels, aussi forts. Je peux encore entendre le son de ta voix me raconter des conneries, rire tellement fort à mes blagues pourries, me chuchoter que tu m’aimes, chanter les Bisounours ou me réclamer un bisou en cachette…

Je peux encore te voir danser comme un fou chez le Padre, gigoter pour tous nous faire rire, t’asseoir sur la chaise de bureau devant l’ordinateur et crier « ça va être ENOOOORME !!!!!»,  nous prendre tous dans tes bras les uns après les autres, ou dormir calmement près de moi.

Tu nous as emplis de joie toute ta vie, emplis de doutes durant cette année qui a été difficile et pendant laquelle j’ai dû apprendre à vivre sans toi, mais désormais je ne veux plus être triste en pensant à toi. Je veux pouvoir sourire et te faire revivre le temps d’un instant en parlant de tes exploits, en racontant à tous à quel point tu étais merveilleux, à quel point tu étais aimé et comme tu as changé notre vie. Tu nous as tous rapproché… Mais tu nous manques, c’est certain 

 Je pensais réellement que ça allait être une journée pesante, difficile à surmonter, que la tristesse allait m’envahir, mais non. Aussi bizarre que cela puisse paraître, et à mon grand étonnement, aujourd’hui je vais bien ! Je me suis levée ce matin et tout ce qui m’est venu à l’esprit, c’est ce sourire… le tien … « Celui qui faisait pétiller tes beaux yeux bruns malicieux ».  Je ne l’ai pas oublié, il reste ancré dans ma mémoire comme si tu m’avais souris chaque jour qui est passé depuis la dernière fois que je t’ai vu.

 

J’espère que tu nous regardes, et que tu es fier de ce que l’on devient. Aujourd’hui je pense à tout ce que tu nous as apporté, et je ne peux que te remercier.

 

Je t’aime mon Flo et je te promets de sourire en pensant à toi, pour toujours !




dimanche 10 mai 2009

Samedi 16 mai

Nous nous rassemblerons

samedi 16 mai à 15h

au cimetière du sud (allée 53)

pour un moment de silence

en souvenir de Flo

Bienvenue à tous et à toutes.

Nous pourrons ensuite échanger en toute simplicité

autour d'un café à proximité.

mardi 10 mars 2009

Donde estás ?

Quizás estás en el paraíso, entre el aire y los pájaros. Es un poco tu nueva casa. Duermes en la suavidad de las nubes y te lavas con la lluvia caliente, comes un rayo de sol y bebes estrellas pequeñas. Puedes vernos de tu sitio cuando el cielo te lo permite. Nos ves pensar en ti, reír, llorar, soñar, vivir…

Quizás estás en la tierra, entre las hormigas y las mariquitas. Es un poco tu nueva casa. Andas en las calles de hierba y cantas canciones que no podemos oír. Puedes vernos de tu sitio, sobre una flor roja, una amapola. Nos ves gigantes y peligrosos, cada paso es un terremoto. Nos ves pensar en ti, reír, llorar, soñar, vivir…

Quizás estás en el agua, entre los moluscos y las sirenas. Es un poco tu nueva casa. Nadas con las ballenas, puedes admirar a los pescados de todos colores y escuchar a la calma de esa inmensidad. Puedes vernos de tu sitio, muy lejos, muy pequeños, intentando de no ahogarnos en esas olas enormes de sentimientos profundos. Nos ves pensar en ti, reír, llorar, soñar, vivir…

Quizás estás en el aire, entre las mariposas y el polvo. Es un poco tu nueva casa. Vuelas y te cernas con ligereza, flotas dejándote aguantar por el viento que te empujas. Nos ves muy cerquito y vienes rozarnos, acariciar nuestra piel mientras dormimos. Te apoyas sobre mi mejilla, y dices en mi oreja que piensas en mí. Nos ves pensar en ti, reír, llorar, soñar, vivir…


Pienso en ti y te extraño cada dia un poco mas.
Te quiero, te amo..
Emma

samedi 31 janvier 2009

phenix


mardi 20 janvier 2009

Chienne de vie.

J'hésitais a poster de nouveau sur ton blog, peur de retourner le couteau dans la plaie.

Voir que les amis ont récemment posté, m'on fait chaud au coeur. 
C'est vrai, trop souvent on fait comme ci tout allé bien. Cela me devenait insupportable. J'en avais, des fois même la sensation que tout le monde avait oublier.  

Beaucoup de soulagement de voir que ce n'était qu'une sensation.

Peut être suis je le seul, mais j'ai besoin de parler de toi. Evoquer tout ces moments qu'on a vécu, partager, apprendre de nouvelle chose sur toi. Mais par peur d'évoquer un sujet tabou, j'ai préférer prendre du recul.

Encore aujourd'hui, le simple fait d'entendre ton nom, me déchire le coeur. Je suis encore perdu, rien n'a changé. Ton départ a tout chambouler. Je suis à l'affût du moindre signe, qui pourrait me guider. Ayant perdu toute créativité, je suis dans l'incapacité d'écrire, ne serait ce qu'un vers. Si je veux être sincère, se serait plutôt un flopée d'insulte et d'injure, qui me viennent à l'esprit. 

J'ai eu une mission, témoigner auprès d'une classe. Enfin, au début cela devait être toute les classes... Mais ce fût un échec. J'ai perdu ma voix. Contradictoire, moi qui voulait parler de toi, et bien j'en avais l'occasion, et bam, comme tu dirais. Rien, le néant.
Il manque trop de détail, je n'ai toujours pas trouver réponse à ma première question : pourquoi ? comment ?

8 mois, diable que cela passe vite. Une nuit bien agité s'annonce. Une de plus, je crois que le pire, c'est qu'on s'habitue. 






lundi 19 janvier 2009

Il sera pour toujours un petit prince...

Flo,

Aujourd'hui n'est pas plus exceptionnel qu'un autre jour. Le soleil s'est levé ce matin en laissant apparaître des nuages brillants sous une lumière rose-orangée et il se couchera ce soir pour faire place au clair de lune. C'est une journée comme une autre. Alors, je lève les yeux vers cette immensité qu'on appelle le ciel et je me mets à penser à toi. Je parts dans des rêveries sans fin où l'apesanteur n'existe plus et où les larmes ne coulent plus. Je ferme les yeux pour me dérober à la vérité et ainsi redessiner l'horizon suivant mes rêves. Je crois que l'on fait tous un peu ça.

Aujourd'hui n'est pas plus exceptionnel qu'un autre jour.Le vent s'est levé pour faire frémir les branches dénudées des arbres et ce courant d'air trop froid finira par soulever mes cheveux qui s'emmêleront les uns avec les autres. C'est une journée comme une autre et c'est pourquoi je t'écris. Voici une lettre de plus à toutes celles que j'ai rédigées, mais jamais montrées. J'aurais tellement voulu toutes les jeter par la fenêtre une fois la nuit venue pour qu'elles gagnent les étoiles et finissent par te parvenir. Ainsi tu aurais su que rien n'est plus pareil depuis que tu n'es plus là et que parfois je me plais à imaginer l'impossible et à broder dans le présent un futur sans nom. Je crois bien que l'on fait tous un peu ça.

Aujourd'hui n'est pas plus exceptionnel qu'un autre jour. Je revois ces souvenirs au goût d'innocence et de fureur de vivre. Ils se déclinent toujours avec les mêmes personnes... Il y a des TOI, des MOI, des NOUS, des VOUS, mais quelque soit le pronom utilisé, j'ai la preuve que tu resteras éternel. Tu seras pour toujours ce garçon exceptionnel au sourire unique rendant jaloux les astres.

Voici ma dernière lettre pour te dire ces quelques mots que je n'ai, jusque là, jamais réussi à te dire: "au revoir".

Tu es ce petit prince qui un jour a disparu dans le désert. Tu m'as tellement apporté que je ne peux que te dire merci.

Nos chemins se recroiseront un jour et alors je te raconterai ce qu'a été ma vie. J'espère que je te dirai que je l'ai passé à aimer vivre, à aimer sourire et à aimer aimer.

Flo, tu resteras à jamais notre ami, notre amour, notre frère. (Et ne t'inquiète pas, je garderai un oeil sur les SITS)

CIAO MON FLO!

Aurée

dimanche 18 janvier 2009

Nancy-Turinaz-Munich

Hey ragazzo!

aujourd'hui on est rentre de Munich, encore un week end riche en evenements et en rire. c'etait super de se retrouver a 600km de Nancy avec tout le monde chez Luc. De voir les tetes de Turinaz en plein milieu de la Baviere, d'ecouter les histoires de chacun et de faire des soirées comme on sait bien les faire. T'aurais adoré voir la tete de ton frere apres une jolie tonte medicinale, Mehdi jouant les "Pedro, parrain de la mafia mexicaine", Jay en costume approprié pour une fois, Malo en mode "no respect", Gros Nico en mushi master, Dino...erm tu l'aurais pas vu puisqu'il est alle au lit a minuit...et les autres. tu aurais été plié de rire en nous voyant faire un curling humain sur un canal gelé, un pakito sur glace, faire des diagonales sauvages en boite de nuit, investir le beergarten de Munich, hurler des chansons dans le metro ou redevenir des enfants devant 10 magnifiques femmes habillées de blanc qui se pointent a la soirée en limousine accordée. Bref , encore un week end sur mesure ou tu m'as, ou tu nous as tous manqué. Parfois quand on est tous la, j'imagine que tu vas pointer ta tete par la fenetre et redevenir le petit prince de nos soirées. Nous faire réver avec tes sourires espiegles et tes commentaires croustillants. Mais je te retrouve dans chacun de nous, dans nos paroles et nos gestes, dans nos attitudes et notre facon d'etre. Tu es et tu seras toujours dans mon esprit, dans mon coeur. Parce que quand il y a un moment de down, je pense a ton enorme smile et a une connerie que tu me sortirais. Et parce que tu mordais dans la vie a pleine dents, parce que ton sourire c'etait le soleil, parce que rendre les autres heureux c'etait une seconde nature chez toi, je pense a toi en regardant les autres et je te vois dans nous tous et me sens bien. Car on a tous pris et appris de toi. Tu n'est plus la mais ton sourire est sur chaque visage, quand on se retrouve tous c'est le bohneur. et c'est parti pour durer...


miss you , baci piccolo uomo
Dylan