samedi 31 janvier 2009

phenix


mardi 20 janvier 2009

Chienne de vie.

J'hésitais a poster de nouveau sur ton blog, peur de retourner le couteau dans la plaie.

Voir que les amis ont récemment posté, m'on fait chaud au coeur. 
C'est vrai, trop souvent on fait comme ci tout allé bien. Cela me devenait insupportable. J'en avais, des fois même la sensation que tout le monde avait oublier.  

Beaucoup de soulagement de voir que ce n'était qu'une sensation.

Peut être suis je le seul, mais j'ai besoin de parler de toi. Evoquer tout ces moments qu'on a vécu, partager, apprendre de nouvelle chose sur toi. Mais par peur d'évoquer un sujet tabou, j'ai préférer prendre du recul.

Encore aujourd'hui, le simple fait d'entendre ton nom, me déchire le coeur. Je suis encore perdu, rien n'a changé. Ton départ a tout chambouler. Je suis à l'affût du moindre signe, qui pourrait me guider. Ayant perdu toute créativité, je suis dans l'incapacité d'écrire, ne serait ce qu'un vers. Si je veux être sincère, se serait plutôt un flopée d'insulte et d'injure, qui me viennent à l'esprit. 

J'ai eu une mission, témoigner auprès d'une classe. Enfin, au début cela devait être toute les classes... Mais ce fût un échec. J'ai perdu ma voix. Contradictoire, moi qui voulait parler de toi, et bien j'en avais l'occasion, et bam, comme tu dirais. Rien, le néant.
Il manque trop de détail, je n'ai toujours pas trouver réponse à ma première question : pourquoi ? comment ?

8 mois, diable que cela passe vite. Une nuit bien agité s'annonce. Une de plus, je crois que le pire, c'est qu'on s'habitue. 






lundi 19 janvier 2009

Il sera pour toujours un petit prince...

Flo,

Aujourd'hui n'est pas plus exceptionnel qu'un autre jour. Le soleil s'est levé ce matin en laissant apparaître des nuages brillants sous une lumière rose-orangée et il se couchera ce soir pour faire place au clair de lune. C'est une journée comme une autre. Alors, je lève les yeux vers cette immensité qu'on appelle le ciel et je me mets à penser à toi. Je parts dans des rêveries sans fin où l'apesanteur n'existe plus et où les larmes ne coulent plus. Je ferme les yeux pour me dérober à la vérité et ainsi redessiner l'horizon suivant mes rêves. Je crois que l'on fait tous un peu ça.

Aujourd'hui n'est pas plus exceptionnel qu'un autre jour.Le vent s'est levé pour faire frémir les branches dénudées des arbres et ce courant d'air trop froid finira par soulever mes cheveux qui s'emmêleront les uns avec les autres. C'est une journée comme une autre et c'est pourquoi je t'écris. Voici une lettre de plus à toutes celles que j'ai rédigées, mais jamais montrées. J'aurais tellement voulu toutes les jeter par la fenêtre une fois la nuit venue pour qu'elles gagnent les étoiles et finissent par te parvenir. Ainsi tu aurais su que rien n'est plus pareil depuis que tu n'es plus là et que parfois je me plais à imaginer l'impossible et à broder dans le présent un futur sans nom. Je crois bien que l'on fait tous un peu ça.

Aujourd'hui n'est pas plus exceptionnel qu'un autre jour. Je revois ces souvenirs au goût d'innocence et de fureur de vivre. Ils se déclinent toujours avec les mêmes personnes... Il y a des TOI, des MOI, des NOUS, des VOUS, mais quelque soit le pronom utilisé, j'ai la preuve que tu resteras éternel. Tu seras pour toujours ce garçon exceptionnel au sourire unique rendant jaloux les astres.

Voici ma dernière lettre pour te dire ces quelques mots que je n'ai, jusque là, jamais réussi à te dire: "au revoir".

Tu es ce petit prince qui un jour a disparu dans le désert. Tu m'as tellement apporté que je ne peux que te dire merci.

Nos chemins se recroiseront un jour et alors je te raconterai ce qu'a été ma vie. J'espère que je te dirai que je l'ai passé à aimer vivre, à aimer sourire et à aimer aimer.

Flo, tu resteras à jamais notre ami, notre amour, notre frère. (Et ne t'inquiète pas, je garderai un oeil sur les SITS)

CIAO MON FLO!

Aurée

dimanche 18 janvier 2009

Nancy-Turinaz-Munich

Hey ragazzo!

aujourd'hui on est rentre de Munich, encore un week end riche en evenements et en rire. c'etait super de se retrouver a 600km de Nancy avec tout le monde chez Luc. De voir les tetes de Turinaz en plein milieu de la Baviere, d'ecouter les histoires de chacun et de faire des soirées comme on sait bien les faire. T'aurais adoré voir la tete de ton frere apres une jolie tonte medicinale, Mehdi jouant les "Pedro, parrain de la mafia mexicaine", Jay en costume approprié pour une fois, Malo en mode "no respect", Gros Nico en mushi master, Dino...erm tu l'aurais pas vu puisqu'il est alle au lit a minuit...et les autres. tu aurais été plié de rire en nous voyant faire un curling humain sur un canal gelé, un pakito sur glace, faire des diagonales sauvages en boite de nuit, investir le beergarten de Munich, hurler des chansons dans le metro ou redevenir des enfants devant 10 magnifiques femmes habillées de blanc qui se pointent a la soirée en limousine accordée. Bref , encore un week end sur mesure ou tu m'as, ou tu nous as tous manqué. Parfois quand on est tous la, j'imagine que tu vas pointer ta tete par la fenetre et redevenir le petit prince de nos soirées. Nous faire réver avec tes sourires espiegles et tes commentaires croustillants. Mais je te retrouve dans chacun de nous, dans nos paroles et nos gestes, dans nos attitudes et notre facon d'etre. Tu es et tu seras toujours dans mon esprit, dans mon coeur. Parce que quand il y a un moment de down, je pense a ton enorme smile et a une connerie que tu me sortirais. Et parce que tu mordais dans la vie a pleine dents, parce que ton sourire c'etait le soleil, parce que rendre les autres heureux c'etait une seconde nature chez toi, je pense a toi en regardant les autres et je te vois dans nous tous et me sens bien. Car on a tous pris et appris de toi. Tu n'est plus la mais ton sourire est sur chaque visage, quand on se retrouve tous c'est le bohneur. et c'est parti pour durer...


miss you , baci piccolo uomo
Dylan