jeudi 5 juin 2008



Bonjour mon grand, Oui je sais tu ne dois pas être trop fier de moi, j'ai pas eu le courage de te faire un discours digne de ce nom et je suis pas le premier à venir sur ton blog. Pour être franc avec toi, je n'y arrive toujours pas à y croire. Difficile donc de faire le deuil alors que je me dit que tu va m'appeler lorsque tu sera sur la plage au soleil pour me nargué et te moqué de mon climat Vosgien. Et pouvoir te raconte mes soucis et nos projets. Que tu me console, me guide... Je ne connaissais pas la même personnalité fêtard comme beaucoup d'autre de tes amis. Je pense plus connaître le Flo qu'on connu ta famille. Le Flo, posé et réfléchis, ayant toujours un conseil en poche. Et pour le Flo fêtard que je découvre, heureusement que je vois certaine vidéo seulement maintenant, sinon tu en prendrais pour ton matricule pour tu sais quoi, et je t'aurai foutu une sacrée raclée. Mais tu le savait, c'est d'ailleurs pour ça que tu m'en parlé jamais. Petit futé va. Déjà, il y a 8 ans, nos personnalités se sont souder, par nos ambitions et une certaine maturité. Qui a fait que dès le début nous avons eu des liens très diffèrent d'ami qui déconné, mais plutôt d'ange gardien. Chacun faisait attention à l'autre et s'entraide. Chacun a toujours sur être là quand l'autre avait besoin de lui. Cette relation forte qui n'a pas était brisé malgré les chemins très différents que nous avons pris? Relation qui s'est accentué lors de nos missions de sécurité ou chacun devait veillé sur l'autre n'est ce pas ? Tu as toujours était là pour moi, et le seul à ne m'avoir jamais jugé. Tu m'aimais comme j'étais. Combien de fois je cries cette chance, qu'après le départ de ta grand mère, on c'est dit nos 4 vérités. Tu savais à quel point je t'aimais et à quel point tu étais important pour moi. Et tu m'avait dit : "je sais que je peux compté sur toi peu importe la situation et peu importe la raison". Si je le répète aujourd'hui c'est pour Lucas le Padré Isabelle, toute la famille. Pour qu'il sache et qu'il n'hésite pas, tout comme faisait Flo à appeler si besoin ai. Et que ça sera avec plaisir que je leur rendrez service. Car me suis toujours sentit bien prêt d'eux. Et que d'une certaine manière, ça permet de comblé une partie du vide que tu laisse derrière toi. Chaque personne que tu fréquenté à gardé une partie de ta personnalité et toutes ces personnes réunit on arrive à te retrouver un peu. Mais j'aimerais dire tellement de chose, tout ce qu'on a vécu, tout ce que tu ma donné, tu étais mon équilibre nous étions la paire. Toi ta tchat moi la technique, toi les pieds sur terre moi dans les ambitions souvent démesuré. Aujourd'hui une chose est sure je ne serais jamais devenu ce que je suis aujourd'hui sans toi. En écrivant me rappel du jour ou tu ma appelé un soir, et tu ma dit "Clément je vais tenter le concours de Police, j'en ai marre des échec l'i.u.t, j'ai besoin de réussite, puis aussi pour les parents..." il y a déjà 2 ans de ça. Je pense avoir était le premier au courant, tu m'avait dit de ne le répété à personne, je n'ai jamais compris pourquoi d'ailleurs... C'était exactement ce qui te plaisait, j'étais fier de toi. Oui fier de toi, pour toutes ces choses, tous ce que tu ma donné, et d'avoir toujours était prêt de moi sans m'avoir jugé, notamment lorsque j'allais au plus mal. Quand tu appelé mes parents en cachette, ou que tu m'organise mon anniversaire surprise avec toute ta famille, ton cadeau mémorable de boite à chaussure avec un briquet cassé et 3 capotes que j'ai toujours, ces parties de jeux sur OPF, c'est réunion qui durait toute la journée, le sandwich à 3h du mat, les concours du plus gros mangeur de patte, les moments d'essayage dans les magasins de costard ou de surplus militaire, quand tu essaye de me casé avec une fille, tu y es arrivé d'ailleurs enfin tu es au courant on va pas en parler là, quand tu essaye de me faire boire de l'alcool en me feintant ou encore quand tu as essayé que je me réconcilie avec ma soeur... Et ta famille, combien de fois tu me disais en me frottant les cheveux, "mais tu es le chouchou de ma mère tu m'énerve", j'apprécie vraiment toute ta famille, et te remercie de m'y avoir intégré, jamais j'oublierai le jour ou on est allé mangé chez ta grand mère avec les 300 plats différents, ou encore les repas de fête le midi avant que tu te transforme en roi de la nuit. C'est un fait, je n'ait pas perdu un ami mais une partie entière de moi même. Je perd vraiment goût à faire tout ce dont tu voulais que je fasse. Comme ci aujourd'hui cela n'avait plus d'intérêt. Après tout si aujourd'hui je suis dans les études et pas dans l'armée c'est grâce à toi. Toi qui ma fait croire en moi. Dès fois, quand la tristesse s'ennuie et que je peux prendre du recul, je m'énerve contre toi. En criant et frappant sur tout ce qui bouge, bordel qu'est ce que ta branlé ce soir là ? Putain tu fais chié, tu avais pas le droit de nous planté là tous. Je crie je t'insulte, ah tu me disais pas ce qui se passé dans tes soirées, ah je t'en veux. D'ailleurs le premier truc que je fais dès que ça sera mon tour c'est te foutre un bon coup de pied au derrière. Alors prépare toi.
J'avais encore besoin de toi. Malgré tout ce qui se passe depuis, la visite de tes ami(e)s de Marseille, les sits, tout ces gens que j'ai rencontré et que je fréquente souvent désormais et bien me sent seul. Terriblement seul. Pour moi ou tout me semblé évident et tracé me retrouve perdu et désemparé. J'essaye pourtant, de continuer, j'essaye surtout de ne pas montré ma peine, mais dès que je me retrouve seul là, devant mon ordi à attendre que FloFlo se connecte ou à hésité à appelé mon numéro illimité ou encore devant les papiers de la préfecture ou je dois expliquer pourquoi je n'ai plus mon vice président. C'est pas juste. Tu me manque mon grand. Clément.


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